Menu

CCI Paris Ile de France

Publié le 4 octobre 2022

5 min avec Yohann, chargé de communication digitale

 

► Qui es-tu et que fais-tu ?

Je suis Yohann Rivierez, chargé de communication digitale pour Le français des affaires. Je gère les réseaux sociaux, c’est moi qui vous réponds de l’autre côté du clavier 😉 !

Mon travail consiste à jongler entre la gestion des réseaux, la rédaction de contenus en ligne ou encore la réalisation de visuels et vidéos. Le côté pluridisciplinaire et le travail en équipe dans la bonne humeur : c’est ce qui me plaît le plus. Aucune journée ne se ressemble !

► D’où viens-tu ?  

Je suis né et j’ai grandi en Martinique, une île réputée pour sa culture, ses ambiances, ses paysages tropicaux…et surtout le soleil !  

À l’issue de mon BTS communication, je suis venu en France poursuivre mes études et découvrir de nouvelles facettes de la communication. J’ai donc continué jusqu’au Master à l’école ISCPA de Paris.

J’ai ensuite peaufiné mes compétences à la Société Générale et au Centre national de la fonction publique territorial (CNFPT), avant de rejoindre l’équipe du Français des affaires.

► Quel est ton talent caché ?

C’est important de trouver l’équilibre dans sa vie, c’est quelque chose qui s’entretient au quotidien. Certains font du yoga ou du footing pour se défouler le week-end. De mon côté, mon talent caché serait la slackline, une activité qui se rapproche du funambulisme.

Elle consiste à marcher en équilibre sur une sangle tendue entre 2 points fixes (arbres,poteaux…). Je la pratique en amateur depuis 2 ans avec des amis.

Tomber, se relever, se concentrer et dépasser ses limites ! En plus d’être fun, cette compétence s’avère très utile dans la vie de tous les jours.

► Pourquoi, selon toi, le français est-il une force ?

C’est une langue riche en vocabulaire et expressions qui me permet au quotidien d’être créatif et force de proposition dans ma communication.

Comme pour l’anglais, la maîtrise du français est indispensable pour toute personne qui envisage une carrière à l’international.

De plus, même si le français est ma langue maternelle, s’exercer au français professionnel, envisager d’autres manières de s’exprimer et d’écrire m’a permis d’accéder à un nouveau stade du monde du travail.